Dans l’inconscient collectif, la restauration collective connote peu le raffinement et encore moins la notion de plaisir dans l’assiette. Chez GERES Restauration, nous combattons les idées reçues et décrochons même de nombreuses victoires.
GERES Restauration spécialisée dans la restauration de l’enseignement, de l’entreprise et de la santé en Ile-de-France, a fait, dès sa création en 1990, le choix – ou le pari – de la qualité élevée et constante !
« Notre spécificité est également de ne pas posséder de cuisine centrale. Nous gérons les cuisines de nos clients, en respectant leurs contraintes. Ils nous mettent à disposition l’outil de production, l’équipement, le stockage. Notre personnel est directement présent sur site, de 1 à 6, 10 ou 20… personnes – et nous leur garantissons notre savoir-faire en transformant la matière première et en mettant en œuvre les repas ! » nous indique le fondateur de l’entreprise.
A ce titre, le diplômé en hôtellerie met un point d’honneur à recruter du personnel de la restauration traditionnelle. « Le service diététique de GERES Restauration dessine les lignes directrices dans les propositions de menus et les chefs ont toute latitude pour faire plaisir à leurs clients ! »
Un artisan de la restauration collective
Avec 7000 couverts servis par jour – 1,2 million par an (!) – GERES Restauration séduit aujourd’hui plus de 30 restaurants qui sortent « de 20 à 800 couverts/jour pour les entreprises et de 100 à 1500 couverts/jour pour les scolaires. Au-delà de ces seuils, nous entrons en concurrence avec des mastodontes de la restauration collective. Et nous ne voulons pas nous battre sur les prix au détriment de la qualité des produits travaillés. Nous demeurons des commerçants-artisans de quartier là, où ceux-ci, sont des grandes surfaces ».
La proximité de ses clients est également un leitmotiv pour Christophe Gand. « Notre volonté est de rester dans notre région pour être réactif et répondre, si besoin, aux urgences. Nos clients se trouvent à 1 heure, voire 1h30 de notre siège melunais. »
Le déjeuner, un critère de fidélisation dans l’entreprise ?
En 2021, GERES Restauration, qui vient de dépasser le seuil des 120 salariés, ambitionne un chiffre d’affaires de 10 millions d‘euros d’ici 2024 malgré la crise sanitaire avec une croissance à deux chiffres depuis 2019. « Les grands groupes ou collectivités locales sont de plus en plus nombreux à comprendre qu’un bon repas au restaurant d’entreprise est l’une des clés du bien être au travail. »
De bons petits plats au quotidien, pour éviter que les salariés ne soient pas dans leurs assiettes. Voilà la recette !